CR Ironman 70.3 Emilia Romagna: Je bats mon record !

Hello,

J’espère que vous allez bien ? Je vous retrouve (enfin) pour un nouveau compte-rendu sur ma distance favorite en triathlon: Ironman 70.3. Mais avant de me lancer dans le récit, il faut savoir que si j’ai pris ce dossard, assez proche de l’OCC (souvenez-vous) au final, c’est parce que j’étais surtout là pour soutenir Matthieu, mon compagnon, qui se lançait dans 3e Ironman (la version complète).

Malheureusement, la région a été placée en vigilance orange et frappée par 2 grosses tempêtes le jeudi puis le samedi. Son Ironman devait avoir lieu le samedi, tant dis que le mien était prévu pour le dimanche. Il a été annulé à juste titre. Franchement, c’était des pluies et du vent très violents avec un mer démontée ! L’organisation italienne s’est mobilisée pour parvenir à le reporter le dimanche… en même temps que l’Ironman 70.3. Ce qui fût certainement un casse-tête pour eux car nous étions très nombreux. 4000 participants sur l’Ironman, 3000 sur l’Ironman 70.3. La zone de transition s’est donc agrandie pour atteindre la taille de 700m de long (oui oui!) afin d’accueillir les vélos, les sacs de tous.

Le report de l’Ironman a mené à l’annulation d’une 3eme format 5150 (format olympique) qui devait aussi avoir lieu le dimanche. Mais, on était tellement soulagés pour Matthieu après ses longs mois d’entrainement qu’il puisse prendre le départ dans des conditions idéales. Le seul petit hic… nous avions prévu de pouvoir nous encourager, samedi moi, dimanche Matthieu. finalement, on va concourir quasiment en même temps ET sur le même parcours lol. On avait juste 3h de différence pour le départ, lui à 7h20 et moi à 10h20 (tranquillleeee)

Voilà un peu pour le contexte 😉  Comme toujours, je vous propose une version video… puis une version article juste après:

 Petit rappel des distances sur ce type d’Ironman 70.3:

  • Natation: 1900m
  • Cyclisme: 90km
  • Course: 21,1 km (semi-marathon)

Pour un Ironman complet (140.6), vous doublez tout ça 😛 Si vous vous questionnez sur l’Ironman 70.3 et que vous avez envie de vous lancer en 2023, Matthieu et moi avions enregistré un épisode podcast avec tous nos conseils. Je vous le glisse ci-dessous:

J-…2 ou 3 lol:

Comme Matthieu devait prendre le départ normalement samedi, nous sommes arrivés jeudi après-midi. Nous habitons Montpellier, il fallait compter environ 9h de route. On est partis le mercredi soir, avec un petit arrêt à Nice chez notre famille avant de repartir très tôt pour l’Italie. Dès notre arrivée, on est allés récupérer nos dossards. Comme pour toute organisation Ironman, il y a un village avec des stands exposants qui font toujours envie 😛 puis de grosses tentes où a lieu l’enregistrement. On y récupère un bracelet avec un QR-Code, un sac à dos contenant les sacs de transition (t1 bleu, t2 rouge et blanc pour la consigne, le dossard… Tout ce dont on a besoin.

Puis direction l’hôtel pour déballer les vélos, faire des courses… courir un peu, se reposer après la longue route. Le point positif de cet Ironman est sa localisation. Cervia est une jolie station balnéaire (oui oui jolie vous avez bien lu), elle a un centre historique pittoresque, de super belles plages et plein… plein de logements très accessibles ainsi que des restaurants.

Malheureusement, on a pas pu vraiment profiter de la région car, comme à Montpellier, elle a été frappée par plusieurs tempêtes et alerte orange : pluie, vent violent, inondation. On a eu un peu d’alccamie le vendredi pour aller faire le repérage de la natation et du début du parcours vélo. Puisque je n’avais ma course que le dimanche, j’ai un peu plus poussé à vélo pour explorer et visiter la région. Même si ce n’est pas encore la Toscane, les paysages (et les grosses bosses bien dures) y font déjà penser.

Sur cette sortie, j’ai un peu souffert du vent qui était violent (présageant la tempête du samedi) et de la chaleur. Mais je crois que c’était le dernier jour d’été en Italie. Je vous glisse mon parcours si jamais vous êtes dans le coin >>

Vers 16h, nous avons appris l’annulation (dont on se doutait un peu) de l’Ironman le lendemain mais avec la possibilité du report au dimanche. On a donc profité tranquillement de la fin d’après-midi sur la plage sans stress de préparatif: petit run, petite baignade, promenade avec Pippa…

J-1 (le vrai !)

Clairement, le samedi, on est resté enfermés quasiment toute la journée à se reposer, préparer mon Ironman 70.3. C’était une bonne décision d’avoir annulé car la mer était déchainée, le vent a couché beaucoup d’arbres et les routes étaient dans un état catastrophique. L’organisation nous a tenu au courant… Finalement vers 16h, le soleil est doucement revenu et nous avons pu sortir se promener et voir ce qui se tramait. On a su les modalités de course pour le lendemain vers 18h…c’était branlebas de combat. Ma course qui devait avoir lieu à 12h a été avancée à 10h, pendant que Matthieu lui avait exactement le même planning juste…décalé au dimanche.

Même si je pouvais déposer mes sacs de transition et mon vélo le lendemain matin comme ce qui était initialement prévu, j’ai accompagné Matthieu à 22h le samedi soir pour tout enregistrer (auparavant il y avait une queue bien trop longue…). La zone de transition était ouverte entre 19h et 23h, nous étions plus de 7000 athlètes, elle était déjà très grande de base… mais elle a quasi doublé. 700m de long. À Nice (souvenez-vous), elle était déjà longue, mais là je dois avouer que c’était assez impressionnant.

C’est assez drôle comme malgré ces changements de dernière minute, tout s’est plutôt bien passé sans de stress supplémentaire pour Matthieu ou moi. Je dois le reconnaître avec ma gastrite (dont je vous parlais sur l’OCC) (inflammation de l’estomac), je suis très fatiguée et je ne peux malheureusement pas courir sans de grosses douleurs abdominales. C’est comme si j’avais 2 points de côté au niveau du sternum. Ce qui est assez handicapant pour courir, mais pas gênant pour la natation ou le cyclisme. C’est pourquoi, je me suis présentée “en touriste” sans trop de stress ni d’attente. Je suis tellement venue détachée que j’ai oublié les prolongateurs de mon vélo !

Je suis contente d’avoir déposé tout la veille (sacs, vélo) car clairement, le dimanche matin c’était un peu un joyeux bordel entre ceux qui faisaient l’Ironman et sortaient de l’eau … pendant que les participants comme moi essayaient d’accéder à la zone de transition ET ceux aussi venu encourager.
Matthieu a déjà pris depuis longtemps son départ, le mien n’a lieu qu’à 10h20. Je suis arrivée un peu trop tranquillement au départ…mais vous savez quoi, je crois que les meilleures courses ont lieu qu’en nous nous y rendons avec le coeur très léger. J’étais un peu à la bourre pour amener mes gourdes, préparer mon vélo et déposer mon sac en consignes. Mais franchement, à 10h tout était réglé et j’attendais bêtement sur le rivage, combinaison fermée, puce à la cheville gauche, lunettes, bonnet rose en place…
Là comme en Suisse, j’avais du temps à tuer, je me suis dit que c’était donc le moment idéal pour m’échauffer dans l’eau. Contrairement à vendredi, les températures de l’eau et de l’air ont bien baissé. C’est juste parfait en terme de conditions. Je fais quelques centaines de mètre et, un petit pipi. Oui…voilà une chose de moins à penser durant la compétition :P.
Natation 29min12

Je me mets dans le SAS 30-34min. J’aimerais, comme à chaque fois, m’améliorer sur cette partie. La mer est plutôt plate, il y a juste une légère brise qui s’est lévée. Le départ est vite donné après un speaker qui nous a remonté à bloc et annoncé que nous étions 30% de femmes participantes, un record ! J’avais pas besoin de plus pour me motiver.

Comme remarqué, lors de l’échauffement (heureusement que j’en ai fait un), il y avait un long banc de sable à traverser avant de pouvoir entamer la nage (on a la même configuration à Montpellier). C’est parfois un piège de courir trop vite dans cette zone car on se retrouve à entamer son crawl essoufflé. J’ai donc essayé d’éviter de trop sprinter avant de plonger.

Honnêtement, cette natation a été une vraie MACHINE A LAVER. Ça faisait super longtemps que je n’avais pas été dans une petite bagarre aquatique. Cela ne me dérange pas du tout, au contraire ça me booste. Par contre j’ai moins aimé dépasser des gens alors… que j’étais dans le bon SAS cette fois.

Vas-y que ça donne des coups, que ça te nage dessus, te tire la jambe, te frappe les lunettes. D’ordinaire avec les départs par vague, on évite ce genre de comportement, là je pense qu’on était tellement nombreux que ça ne changeait rien comparé à un mass start.

Malgré ça, le swim passe assez vite. Contrairement à Nice, la visibilité est excellente entre chaque bouée. Je m’oriente bien, j’ai juste l’impression que la mer est plus agitée que prévu… peut-être la faute à tout le beau monde dans l’eau lol. J’ai de bonnes sensations et je suis surprise de voir déjà site vite la ligne d’arrivée. La sortie d’eau est difficile (coucou le banc de sables…) je boucle les 1900m en 29min12… dans les faits il y a un peu moins de 1800m. Ça arrive parfois de ne pas avoir exactement la distance, c’est pareil pour tous les participants 😉

NOTE SUR LES DISTANCES:

L’organisation Ironman adooooore les chiffres… rien que le titre Ironman 70.3… Ironman 140.6 mais il arrive que vous n’ayez pas sur votre montre EXACTEMENT les distances pour chaque sport…. car on oublie souvent de comptabiliser aussi les transitions. Sur le cette course, on avait 1,4km en tout entre chaque sport. Donc s’il manque 100m en natation, 100m en course à pied …ou 500m sur le vélo, pas d’inquiétudes, on les rattrape toujours en transition.

Ça me fatigue juste les gens qui viennent te dire “ouais tu fais un beau chrono mais tu as pas vraiment couru la distance”… Bah si lol. Et franchement, j’ai maintenant fait une petite dizaine d’Ironman 70.3, on se retrouve souvent à en faire plus que moins :P. Débat clos.

T1 + de 8min lol

Effectivement, comme j’avais anticipé, c’est long de rejoindre la zone de transition depuis la plage…sans parler de traverser toute la zone de transition… Ah oui et se changer. Je fais comme toujours ma Miss Précieuse. Vu que mes ongles sont dans un état déplorable depuis mon Ultra en juin, j’ai préféré prendre mon temps, mettre de la crème anti-frottement, les chaussettes de course à pied, mes chaussures de vélos etc. etc.

Je le dis à chaque fois: il faut que je m’améliore en transition mais je vais le dire encore.

J’attrape mon vélo, je remonte longuement toute la zone et c’est parti !

Cyclisme : 2h43

La boucle est une sorte d’aller-retour. Les premiers 15km sont face au vent…  c’est un peu compliqué de rentrer dans la course, les cuisses ne sont clairement pas réveillées. Mais le paysage me fait penser à ma propre région. Une sorte de Camargue mais en Italie avec les salins, les flamands roses.

On enchaine sur un long passage sur l’autoroute qui nous mène vers les terres. Les kilomètres s’enchainent assez bien mais à partir de 30, on en sort et les routes deviennent très étroites alors que le nombre de cyclistes augmentent. On commence à avoir des petits groupes, des bouchons. C’est assez stressant car la route est parfois en mauvais état en certains endroits nous empêchant de tenir notre droite.

Il y a des règles stricts en triathlon: la distance, le dépassement afin d’éviter d’être dans la roue d’une autre participant et profiter de son aspiration (donc de moins se dépenser). Le triathlon est un effort individuel… en cyclisme, clairement, ça aide de rouler en groupe. C’est pour cela que c’est interdit. Sauf que clairement, matériellement entre l’étroitesse des routes et le nombre de participants (puisque sur le parcours il y avait les participants de l’Ironman.. .et nous de l’Ironman 70.3), sur certaines portions c’était impossible de les respecter.

Cela dit, j’ai évité les chutes… et heureusement la grosse bosse dans un village italien très pittoresque (j’y étais allée le vendredi) a permis de casser ces groupes et de mieux étirer les participants. Le retour a été moins a stressant sur la boucle. J’ai pu consommer toute ma nutrition (barre de céréales, pompotes…) et ma gourde pleine d’Orangina. Je me suis sentie donc prête pour bien enchainer sur la course à pied en retournant à Cervia.

PETITE NOTE sur l’équipement: Contrairement à d’habitude, je n’ai pas pris mon Langma (que vous connaissez, notamment ici>>) car le parcours velo ici est extrêmement plat et roulant. Très peu de dénivelé, j’ai donc sorti mon vélo-fusée: mon Envi 🙂 !Je le sors rarement mais là, il a fait le job même sans prolongateurs (qui m’auraient peut-être un peu aidée à gagner 1km/h ou économiser de l’énergie)


T2: 5min46

D’ordinaire je suis bien plus rapide mais encore une fois, il faut poser le vélo et à nouveau courir sur 700m. J’ai aussi fait une petite erreur je suis partie en oubliant de lasser une de mes chaussures lol.

Je mange une petite pompote, je bois de l’eau et c’est reparti pour la course !

Course 1h42 (allure 4,52/km)

Pour le coup, j’ai appliqué ma stratégie habituelle qui a fonctionné en Suisse et a été éprouvée à Nice >>:
  • Ne pas partir trop vite
  • Adopter une allure tempo que je peux maintenir du début jusqu’à la fin
  • Surveiller l’allure
  • Se ravitailler
  • Ne rien lâcher

Les mots clés de mes semi-marathon sur Ironman 70.3 sont: gestion et régularité

Peut-être j’aurais pu aller plus vite ? Mais si j’étais allée plus vite, est-ce que j’aurais ralenti sur la fin ? On ne sait jamais mais ce que je savais durant mon semi c’est que j’avais cette fichue gastrite qui me donne des douleurs abdominales atroces. Vous vous imaginez vous courir vite ET avoir des points de côté… bah voilà ce que je me tape depuis 2 mois maintenant.

Heureusement, ce n’était que 2 boucles et j’ai adoré le parcours. Même s’il ne faisait pas chaud, on était très souvent à l’ombre et à l’abris du vent. Il y avait énormément de monde partout pour nous encourager (encore merci d’ailleurs à tous !).

Je ne rate aucun ravito: de l’eau du coca..de l’eau.. je ne peux rien manger :S

Mentalement, le 1er tour passe vite, je me sens bien et j’accroche les foulées d’une autre femme qui a un rythme similaire au mien. J’ai croisé tellement d’autres femmes on s’encourage… on se soutient discrètement.

Quand je vous dis qu’on était nombreux lol

Malheureusement, je ne me souviens pas de son prénom car contrairement au vélo, le dossard est affiché devant. On se suit je pense sur les 3/4 de la course mais il me semble qu’elle fait l’Ironman… car oui, comme sur la partie cyclisme, nous sommes mélangés avec les autres. Ce qui doit clairement être difficile pour eux de nous voir passer à des rythmes plus rapides.

Sur mon dernier 5km avant l’arrivée, j’accroche la foulée d’une autre femme mais qui est sur le format relais (oui c’était une autre option). Elle n’est donc pas en tri-fonction mais en tenue running. Alors elle va vite, mais je la garde en ligne de mire afin de me motiver à garder mon rythme… voir-même d’accélérer un peu !

La ligne d’arrivée est tellement cool sur la plage… et l’ambiance ! C’était vraiment une superbe course à pied avec beaucoup d’encouragements par le public.

Je finis en 5h09 avec beaucoup de fierté et de plaisir mine de rien ! Je bats mes records sur les 3 disciplines.. les ravitos de fin sont exquis et je retrouve mon Matthieu qui a fait aussi une superbe course quelques heures après. C’est assez fou de se dire que la veille c’était la tempête… et que le lendemain, les conditions étaient parfaites !

Encore merci pour votre soutien et vos encouragements qui me touchent beaucoup. J’ai déjà un nouveau dossard sur Ironman 70.3 en 2023. J’espère un jour pouvoir passer sous la barre des 5h, ce serait un bon objectif 😉 je sais déjà que je peux gagner 3-4min sur les transitions… comme toujours 😛

Tenté.e par un Ironman 70.3 🙂 ? Si jamais vous participez un jour à celui-ci, je vous le conseille vraiment pour battre un record ou débuter car il n’y a pas de difficulté sur le vélo ou la course. 

@ très vite

Mon équipement :

Baskets – Hoka Carbon X >> /Velo Envi (2019) / Chaussures Specialized Torch 2 / Casque Liv Rev Pro
Trifonction Zerod Combinaison Zerod / Lunettes Oakley Sutro Lite / Compteur Garmin Edge 

Ne vous arrêtez pas là !

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5 réflexions sur “CR Ironman 70.3 Emilia Romagna: Je bats mon record !”

  1. Bonjour! Bravo pour la performance et merci pour le compte-rendu. Que j’adore lire. D’ailleurs je lis tout, c’est tjs super, drôle et franc.
    Je me demandais: comment sont gardés les vélos la nuit? Ils sont attachés avec des antivols, y’a des gardiens qui font des rondes? J’ai bien vu les barrières mais ça n’arrête pas certains malhonnêtes…
    J’ai une autre question mais je dois la retrouver, ahah! Bonne journée !

  2. Bravo pour ta performance et ce record!!! Pourtant y’avait de quoi être un peu déstabilisée avec la météo et les changements d’organisation…
    Je suis assez estomaquée de voir les remarques des jaloux/jalouses sur les quelques mètres courus ou pas courus, je trouve ça tellement petit surtout après une épreuve telle qu’un 70.3!
    Bon courage pour la suite, j’espère que ta gastrite va bientôt guérir, cela doit être vraiment désagréable de courir dans ces conditions, réussir quand même d’aussi bonnes perfs avec ce handicap, chapeau!!!

  3. Super agréable et rassurant de lire cet article. Je viens de m’inscrire à ‘lronMan 70.3 des Sables 2024 : mon 1er IronMan, mon 1er triathlon, mon 1er semi-marathon officiel, ma 1er course de natation et de vélo… Tout cela est effrayant mais je voulais un challenge pour l’année 2024 (après mon ascension du Mont Kilimandjaro en 2023). J’apprends bcp en lisant ton article et je me dis que j’ai 10 mois pour me préparer ! Et allonger la liste des femmes y participant me motive aussi.

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