Hi,
Il y a une semaine (déjà :(), je débutais mes vacances par un crochet à Marseille afin de participer pour la première fois au Marseille-Cassis. Un peu comme le Marvejols-Mende, je classe cette course dans les “MUST-RUN” au moins une fois dans sa vie. J’avais entendu tellement de positifs et d’encouragement sur cette course, que je me suis dit qu’il fallait prendre le départ.
De plus, c’était l’occasion de retourner à Marseille, dans mon sud chéri. C’est à Marseille que j’avais couru mon premier semi-marathon, donc c’était un peu symbolique de participer à nouveau à une course ici. Le Marseille-Cassis n’est pas une course comme les autres dans le sens où le parcours comprend une jolie grimpette, quelques faux-plats un peu longs, un paysage à couper le souffle (avec de bonnes odeurs de romarins et de sel) et des descentes pas hyper sympa.
Bon à savoir: Le Marseille-Cassis, en outre d’un joli dénivelé, c’est aussi un dossard qu’il faut vouloir. Si vous voulez courir le Marseille-Cassis, il faut vraiment le vouloir car l’aventure démarre dès les inscriptions. Pire que vente-privée, il va falloir être dans les starting-block pour vous inscrire et rafraichir la page, vos mails bref, vous battre pour ce dossard. Un dossard… ? Non deux, imaginez que j’ai dû me battre 2 fois pour être sûre que Matthieu et moi avions nos dossards. Inscriptions ouvertes à 12h, à 14h le même jour, tout était vendu. C’est vous dire le succès de cette course 😉 ! Mais vous êtes prévenues et si vous le savez, pas de soucis pour avoir vos dossards.
J-1 Retrait des dossards:
Arrivés à Marseille, nous partons directement chercher nos dossards au village expo. C’est hyper bien organisé : certificat, dossard, t-shirt + sac avec goodies, vérification de la puce=ma puce en 15min c’est plié. Le top franchement. De plus il est bien proposé un t-shirt femme et homme, on vous donne la taille que vous avez demandé et aucune autre. Enfin, nous rentrons à l’hôtel, je décide de regarder que tout est quand même OK, je prépare ma tenue et là c’est le drame : pas d’épingles dans le sac.
Je n’en reviens pas et je me trouve très bête car d’habitude, je fais hyper attention à ce détail, j’en prends toujours dès que j’en vois dans les petites boites lors du retrait. Matthieu m’assure qu’il y en avait pas. Je suis lourdement énervée à la fois contre l’organisation de ne pas avoir ajouté des épingles ou au moins en libre service et contre moi-même, à force, je devrais le savoir. À Paris, nous avons bien des épingles en rab, mais pas en vacances.
Résultat, on visite Marseille tout en allant au rayon…”couture ?” des boutiques (monoprix and co), ils sont dévalisés : zéro. On en trouve finalement en désespoir de cause à Tiger…bon dorées avec des décos mais nous sommes sauvés. On savoure le reste de notre visite et on se prépare une belle nuit au Mama Shelter de Marseille.
Jour-J:
Je n’ai pas bien dormi du tout, j’ai fait une allergie aux draps (acariens …) et je n’ai pas mes petits médicaments pour me calmer. Bon, ça m’est déjà arrivé auparavant avant une course, je ne m’inquiète pas plus que ça. Je déjeune sans grande conviction. Je n’ai pas très envie de prendre le métro. Comme la ligne de départ, n’est qu’à moins de 3km, on y va en courant en pensant que ça sera un bon petit échauffement. Mouais, sauf que ça coupe mon temps de digestion et nous arrivons au stade Vélodrome, je ne me sens pas très fraiche et j’ai déjà chaud.
Je suis impressionnée et ravie de découvrir le stade Vélodrome (fraîchement rénové) à l’occasion de la course, je l’ignorais !…Bon, si le passage par le stade Vélodrome est une tradition pour la course… C’est vrai que c’est sympa, impressionnant et que l’on peut profiter des toilettes bien plus clean. C’est un peu compliqué à “comprendre” ce long détour pour finalement retourner exactement sur la route par laquelle nous étions arrivés. Après ça fait partie de la tradition, mais tant qu’à faire, on ne peut pas partir du stade. Je rêve un peu 🙁 !
On se joint au cortège de coureurs qui remontent doucement l’avenue vers la ligne de départ. On essaie de se rapprocher un peu de celle-ci d’ailleurs. Petit plus, il y a des toilettes et des “pissotières” dans les sas. Bon c’est un plus pas hyper glamour quand tu attends le départ juste à côté d’un homme qui pisse “Salut çå va ? tu vises quel temps… ?” Non je rigole, mais c’est top de penser à ça car nous sommes nombreux à attendre longtemps dans les sas et parfois…l’envie, ça ne se contrôle pas, ça évite que les hommes aillent marquer leur territoire n’importe où… Ahem.
En attendant le départ à 9h30, pas beaucoup d’ambiance, pas d’échauffement mais l’atmosphère est plutôt cool, ça fait plaisir d’entendre les Marseillais, leur bonne humeur, sans parler du soleil qui pointe le bout de son nez. Le départ est donné à l’heure… sans coup de pistolet. On sent juste la foule qui avance doucement vers l’arche.
Pendant la course:
Le début est un peu complexe, ça bouscule pas mal et nous sommes vite “naturellement” éjectés de la rue principale pour courir en parallèle, là où il y a plus de places. Les premiers kilomètres en faux plat se passent plutôt bien. J’ai vite chaud mais ça va encore. L’ambiance est vraiment cool, les gens sont sympa, drôles, ils font des blagues. Ce n’est pas aussi sympa que le Marvejols-Mende, mais on s’en rapproche. Merci les marseillais pour ça !!
Premier ravitaillement, c’est la panique. Je suis agréablement surprise par l’abondance : bouteilles d’eau bouchonnées ou pas (au choix), fruits secs, sucre, orange, banane, chocolat noir.. C’est top, tout est bien indiqué (glucose, eau, solide etc.) mais c’est mal organisé dans le sens où on ne voit pas lorsque les tables de ravitaillement démarrent qu’il y a bien un second point d’eau, bref plusieurs endroits où l’on peut récupérer une bouteille. Résultat, tout le monde se jète dessus sans bien réfléchir, se bousculent.
Le début de la montée reste dans mes cordes, surtout après le petit ravitaillement juste avant… Sauf que je commence vraiment à avoir très chaud et à me sentir très lourde… Je n’avance pas du tout et ça va durer pendant toute la montée malgré un ravitaillement et le début de la descente. Je ne sais toujours pas si ce coup de mou est lié à la chaleur (eh oui à Paris je n’ai déjà plus l’habitude), la mauvaise nuit ou le petit dej. En tout cas, je subis la course entre le 7eme et facile le 15eme km. J’arrête ma musique je regarde mes pieds. La dernière fois que j’ai vécu çå c’était pour les 10km We Own The Night…L’horreur.
Heureusement, la descente vers Cassis et le paysage (peut-être un bon ravitaillement aussi), me réveillent et je me reprends en main, mais c’est trop tard pour faire quoique ce soit comme Performance. Je profite du paysage et enfin de la course.
L’arrivée
Dès les derniers kilomètres, ça commence à être délicat de courir “proprement” sans bousculer quelqu’un, s’excuse, doubler… Je ne vis pas bien ces derniers instants car je me sens enfin mieux pour accélérer, j’avale sans problème la dernière montée et j’essaie désespérément d’allonger ma foulée mais c’est littéralement impossible. Les rues de Cassis sont très étroites, sans parler de la foule, certes qui nous encouragent mais grignotent davantage sur la route. Plus on se rapproche, plus c’est une catastrophe. Frustrant.
Honnêtement, lorsque vous essayez de sprinter vers la fin mais qu’en fait vous rencontrez juste un gros bouchon qui vous force à marcher jusqu’à la ligne d’arrivée ET de bousculer les gens pour vainement passer les lignes des chronos, sans parler des bénévoles qui vous hurlent dessus pour “avancer” absolument afin de dégager le passage. Moi je veux bien avancer, passer la ligne d’arrivée mais c’était juste impossible. 13000 personnes dans un endroit si étroit et petit en très peu de temps, ce n’est pas raisonnable. La distribution des médailles était chaotique ni vérifiée (vous pouvez tendre la main 50 fois, je suis sûre que vous auriez pu repartir avec 50 médailles).
Pas de ravitaillement directement sur le lieu d’arrivée (forcément c’est trop petit), on pouvait ramasser par-terre dans les packs d’eau restant quelques bouteilles. Rien n’est indiqué, on se retrouve un peu au hasard sur la plage et on bénéficie en fait d’un ravitaillement d’une entreprise très généreuse
On peut enfin respirer un peu, tremper les pieds dans l’eau fraîche. Bien mérité. On n’est pas les seuls à avoir cette idée, plusieurs coureurs sont courageux et se baignent totalement. Respect. On retrouve enfin une petite ambiance sympa, loin de l’énervement et de l’agacement de l’arrivée.
Petit détail qui n’en est pas un. Il faut bien rentrer sur Marseille. L’organisation a prévu des bus. Ok… à plus de 2km de l’arrivée à pied, en montées tant qu’à faire et avec une queue énorme. C’était hyper mal organisé, la guerre pour rentrer dans un bus….Résultat, le retour à Marseille a été très… très long . Il fallait être patient et même les Marseillais s’énervaient shah je caricature mais on entendait bien que “l’heure de l’apéro était passée !”
Finalement, nous finissons en 1h57 ce 19,6km (ce n’est plus un semi-marathon et pas non plus un 20km cette année pour cause de travaux.) Je suis déçue (surtout par rapport à notre temps sur Marvejols-Mende) mais il y a toujours des jours sans, ce fût donc une course sans mais au moins le paysage, la mer et Matthieu étaient là pour me consoler 😉
Bon… je dois le dire, Marseille-Cassis c’est dur, mais vraiment pas aussi dur que le Marvejols-Mende. Je suis heureuse d’y avoir participé une fois pour l’expérience, je reviendrai surement mais pas avant plusieurs années. Notamment à cause de ces petits couacs d’organisation qui gâchent un peu tout le reste.
La médaille de la course est vraiment super belle 😉
Attention, je tiens à rappeler que mes critiques ne s’adressent pas aux bénévoles (on m’a fait la remarque sur Instagram) mais bien à l’organisation, c’est eux qui “organisent” et déploient les bénévoles. J’ai tout à fait conscience que ce n’est pas de leur faute donc j’aimerais vraiment distinguer organisation/force humaine derrière la course.
Je suis assez surprise de cette organisation vraiment brouillon à l’arrivée VS l’inscription “militaire” en ligne et le retrait de dossard au top. Les sas sont inexistants, enfin s’il y en a mais je me demande comment on fait pour y accéder car lors de l’inscription, je ne me souviens pas avoir coché quoique ce soit. Le départ est donné aussi un peu dans la panique (pas de coup de feu) et aucune vague. On est quand même 13 000 ! Résultat, c’est la bousculade et dès le départ, on ne suit pas la route principale, on court à travers les trottoirs.
Le pire étant tout de même le bouchon à l’arrivée, je n’ai vraiment jamais eu ça à une course. Si on se fonce un peu dessus en arrivant, jamais de “blocage” littéralement. C’est dommage. Distribuer un petit sac de ravitaillement (bouteille d’eau, solides) et médaille à l’arrivée permettrait d’éviter certainement des bouchons de “mais où sont les ravitos” ou encore “où sont les bouteilles” Ce sont des détails mais qui gâchent vraiment l’avis global que je me faisais de la course. C’est la guerre pour avoir un dossard, ce fût la guerre aussi pour passer la ligne d’arrivée = beaucoup de stress généré et d’énergie dépensée un peu inutilement.
Pour finir, en me re lisant, je vois vraiment que mon avis de la course peut paraitre négatif, pourtant j’ai apprécié et je ne regrette pas ma participation. Néanmoins, pour une course de cette ampleur ( et tout de même 45euros…) d’où mes reproches, j’aurais été peut-être moins pointilleuse sur d’autres courses de moindre ampleur), il y a des détails qui devraient être améliorés sans contexte.
En tout les cas, si le Marseille-Cassis vous tente, faites-le ! C’est vraiment une course à faire au moins une fois dans sa vie 🙂 !! Y avez-vous déjà participé ?
à très vite
PS: N’oubliez pas de participer au concours des 6 ans du blog !
26 réflexions sur “Compte-Rendu : Le Marseille-Cassis 2015 #220”
J’aimerai beaucoup faire cette course un jour. Marseille n’étant pas la porte à côté, ça complique forcément un peu la chose…
C’est un peu fou pour les épingles, même dans des petites courses générallement elles sont fournies. Je vois bien Marseille en pénurie d’épingles haha.
pénurie d’épingles ET de bananes 😛 !
Je ne suis pas vraiment d’accord pour les épingles : on apprend très tôt en école d’athlé que pour une course y a 3 indispensables : basket/ maillot du club/ épingles a nourrice à mettre dans ses affaires de course . Les courses en proposent pour dépanner ceux qui ont oublié mais je ne pense pas que ce soit un du aux coureurs. En tous cas si sur Paris les épingles sont souvent fournies c’est pas le cas en Province. Ce n’est que mon avis perso 😉
Dommage que je n’ai pas été en école d’athlé avant 😉 et je pense que c’est le cas pour beaucoup de participants.
Je reconnais que j’aurais dû y penser, mais nous étions en vacances.
Honnêtement je ne cours pas qu’à Paris et à chaque fois, on a des épingles (même au Marvejols-Mende au fin fond de la Lozère).
Après je ne dis pas que c’est une obligation, mais avec l’envergure de cette course, c’est quand même un minimum.
Merci d’avoir partager ton compte rendu, mon mari et moi, pour notre 1ere participation, partageons vraiment ton ressenti pour le couac du ravitaillement à l’arrivée …. nous qui sommes arrivés bien après vous ( 2h20 de course), avons eu droit à de l’eau et des fruits secs …. bof bof … nous
Les rues étroites à l’arrivée, n’étaient pas une surprise car nous sommes marseillais et venons à Cassis très souvent …. et vu notre super temps ;)) nous n’avons pas eu de gros bouchon à l’arrivée 😉 c’était assez fluide.
Cassis est vraiment une toute petite ville, vite saturée.
nous avions garés un véhicule la veille à la sortie de la ville, pour ne pas à avoir rentrer par navette, dommage nous aurions pu largement vous redescendre sur Marseille … une prochaine fois si tu reviens 😉
Pour revenir à la course, c’était assez eprouvant pour moi les 10 premiers km, ce col me tue 😉
J’ai vraiment passé un moment trés agréable ensuite jusqu’à l’entrée de Cassis, ou je trouve les 3 derniers km trés difficiles.
Vraiment ravie de l’ambiance, les encouragements m’ont portés jusqu’à la ligne d’arrivée ! je remercie vraiment toutes ces gentilles personnes qui nous soutiennent et crient nos prénoms, c’est magique ;))
J’y ai participé pour la deuxième année consécutive avec l’objectif de faire mieux que l’an dernier et objectif atteint 🙂 Je te rejoins sur les points à améliorer mais la satisfaction est telle à l’arrivée que ces derniers sont vite oubliés. Et effectivement, j’estime également que c’est LA course à faire au moins une fois, encore faut-il parvenir à avoir un dossard…j’étais beaucoup plus stressée le jour de l’inscription que le jour de la course je crois 🙂
Coucou, idem deuxième année que j’y participe et je rajouterai pour le problème d’organisation (pour informer les futures courageuses) qu’un système de navettes est organisé et qu’après la course il faut marcher 3kms (de côte) pour rejoindre les navettes qui vous ramènent jusqu’à Marseille ou Aubagne, psychologiquement et physiquement c’est assez horrible quand on a couru 20 kms. Je suis d’accord avec toi sur les couacs d’organisation, notamment pour les ravitaillements c’est pourquoi j’avais tout pris sur moi (eau + boost) pour éviter les désagréments des ravitos. J’ai atteint la performance que je voulais et la satisfaction de la fin te fait tout oublier. C’est une course à faire une fois dans sa vie mais pas toutes les années je suis d’accord.
J attendais avec impatience ton compte rendu mais du coup je suis mitigée sur une participation…ça sent beaucoup le stress quand même
Coucou Anne je rejoins qq peu tes impressions, 2 eme participation pour moi! Je crois que #MK6 veut garder un esprit petite course et tradition ( refus de rachat par des sociétés type ASO notamment) ce qui explique les embouteillages, 1 seul sas commun et 1 élite/préférentiel sur justificatif! Je n’ai pas été déçue et je remettrais cette course au planning 2016 si je gagne l’épreuve obtention du dossard! Pas déçue car bien briefée sur les “points négatifs ” que tu cites avant ma 1ère participation donc je savais déjà avant le départ à quoi m’attendre et étant aussi plus lente j’ai eu moins d’embouteillages..lol
Déçue de ne pas t’avoir aperçue et bonne continuation ! Vanessa
Je l’ai faite également pour la première fois cette année et c’est vrai que la bataille commence vraiment aux inscriptions!!
Après pour moi la course était super sympa j’étais toute contente de courir et bien dans mes baskets.
L’épreuve des bus navette a été plus éprouvante que le col de la gineste…!
Je me retrouve dans pas mal de choses que tu décris mais je garde que le positif car c’était mon premier semi et j’étais tellement fière d’arriver au bout en 2h pile!!
Effectivement raconté comme ça ça ne fait pas trop envie 😉 mais encore plus convaincue que le marvejols mende sera à mon programme cette année. Mon premier semi ( si Achille le veut bien cette fois ) dans le département familial, une course que je connais depuis toute petite sans avoir jusqu à il y a peu pensé pouvoir y participer, dans le top de mes must run c’est clair !!
Salut Anne,
tu as changé de montre ?
Coucou
Oui et non, je teste juste la Polar, Matthieu mon petit ami, l’a et j’étais curieuse 😉 !
C’est chouette de voir le compte-rendu des autres coureurs. Je viens juste de poster le mien sur mon blog.
Premier “presque semi”, je suis ravie de l’avoir faite mais je suis d’accord sur l’organisation… Je n’ai pas trop subi les bouchons pendant la course car je ne cours pas très vite donc la plupart des gens était déjà arrivée quand j’ai fait mon entrée dans Cassis. Néanmoins j’étais hyper déçue du problème des médailles (nous étions 3, on en a eu qu’une seule…) et d’avoir galéré à trouver le ravitaillement de fin !
Néanmoins cette course était un défi personnel et mon “au revoir” à cette route que je parcours tous les jours pour me rendre au travail. Je remonte en région parisienne après 2 ans à Cassis. <3
Une course à faire au moins une fois dans sa vie je pense. On a eu un temps au top ! Et la vue avec le Cap Canaille restera une des plus belles que j'ai pu voir =)
J’y étais moi aussi, mais en tant qu’accompagnatrice du chéri car non seulement je n’ai encore jamais parcouru plus de 12 km en course à pieds mais aussi car j’ai arrêté car je suis enceinte actuellement. En revanche je te rejoins tout à fais!
Lui aussi avait oublié les épingles, 1ère fois que ça nous arrive même aux Etats Unis pour notre course à Santa Barbara on les avait!
Puis l’organisation, ce monde fou qui arrive à la ligne d’arrivée, ce ravito “pas indiqué” et pire la chose qui moi m’a dérangé mais vraiment dérangé en tant qu’accompagnatrice, la route pour rejoindre cassis fermée à partir de 6h30 du matin! Serait ce une blague?! La course démarrant 3h après, j’estime qu’on aurait pu bloquer la route un peu après quand même, je remercie le décalage horaire quand même!
Dans tous les cas bravo pour ta performance! Ce n’est vraiment pas une course facile!!!
Cette course me fait rêver depuis un petit moment. Je vais sûrement sauter le pas l’année prochaine ou la suivante. Même s’il y a des petits inconvénients, le paysage doit être tellement magique que ça fait oublier tout le reste :). Je ne me fixerai pas d’objectif pour ne pas être frustrée en cas de bouchons et partirai avec un camel bag pour ne pas stresser aux ravitos (je vis trop mal de me faire bousculer tout ça pour gagner 3 secondes sur un chrono!)
Anecdote épingles à nourrices :
Pas d’épingles sur le Marathon de Strasbourg car une année un concurrent s’est piqué avec et a porté plainte contre l’organisation … Il a gagné le procès et depuis plus aucune épingle n’est distribuée pour l’événement.
Ah oui 0_0 (quelle idée de porter plainte pour ça)
Non mais je retiens la leçon, je vais m’orienter sur un porte-dossard, ça sera plus simple 😉
J’ai trouvé ça assez dingue ouais … mais y a des gens “spéciaux” dirons nous ^^
Congrats! C’est toujours intéressant de lire tes comptes-rendus 🙂
PS : Ce soir, j’ai fait mon 1er run en 1 an 1/2, pour suivre mon mec, 15 min. sans m’arrêter, c’est… une victoire que je ne pensais jamais atteindre. Et c’est encourageant pour la suite. Avec mes virées à la piscine, c’est réjouissant. Merci de rendre la course à pied multi-facettes, pas seulement la performance, mais juste du temps pour soi !
Ho c’est dommage tous ces points négatifs!
C’était ma 2ème participation à cette magnifique course, et de mon côté je n’en retiens que des bonnes choses!
Peut-être qu’en tant que sudistes, le bordel on y fait même plus attention (aux ravitaillements, à l’arrivée…) ^^
Pour les épingles j’ai aussi été surprise, l’année dernière il y en avait dans le sac.
Et il y a certaines choses pour lesquelles l’organisation n’a pas le choix : les rues de Cassis qui sont minuscules, ça fait forcément beaucoup de monde sur les derniers km (pour ma part j’ai couru sur les trottoirs), et impossible de faire descendre des cars dans la ville… C’est pour ça qu’on amène tous nos voitures la veille 😉 (mais bon j’avoue, si on n’est pas d’ici on ne peut pas le savoir).
Bref, j’espère que ça ne t’empêchera pas de retenter l’expérience, ça reste une course tellement belle, et avec une ambiance au top!
Salut Anne,
Je sais c’est un ancien post mais je compte faire le Marseille-Cassis 2016. Je suis débutante depuis mai 2015, j’ai participé qu’à une course officielle (la 10Km de Montpellier sous le nom du DubndiduCrew 😉 ) et j’aimerais maintenant viser les 20Km.
Je suppose que tu as un emploi du temps assez chargé mais aurais-tu le temps de me donner quelques renseignements sur l’entraînement à prévoir pour réussir son premier “semi”, à savoir les entraînements quotidien? La performance en temps n’est pas tant recherché, je cherche à être fière de moi d’y être arrivée 🙂
Merci beaucoup Anne,
#DubndiduCrewMontpellier !
Merci pour ton compte rendu 😉
J’espère pouvoir faire cette course cette année, j’ai réussi à avoir un dossard youpiiii! C’était vraiment une galère… Mais mon père n’a pas pu en avoir un alors que je devais le faire avec lui. As-tu des bons plans pour trouver un dossard ? Parce que j’étais vraiment dégoûtée, je me vois mal faire cette course en solo 🙁
Bonjour,
C’est vraiment top tous ces compte-rendus de course! Merci! Et je vais essayer de venir à bout du prochain défi running 😉 Je suis à la recherche d’un dossard pour l’édition 2016… Des idées ou des bons plans?
Merci!!
Aurore
Bonjour Aurore,
Malheureusement sur le Marseille-Cassis, il y a rarement de la revente, mais peut-être sur certains groupes de running via Facebook 😉 !
Sympa de lire ce compte rendu 1 an après
Je participe au marseille cassis – je ne suis pas préparée – je flippe – je ne vise aucune performance mais je flippe