Hi,

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Je crois que plus on avance dans notre vie, plus nous intégrons certaines valeurs. Alors forcément, nous partageons des valeurs que nos parents nous ont inculqué, mais nous suivons aussi les nôtres, celles qui nous touchent, celles qui nous définissent plus que celles de nos parents par exemple.

Un valeur  (voire même une conviction) à laquelle on m’identifie naturellement est celle du sport et de l’effort, forcément. Ce n’était pas une valeur franchement présente dans mon éducation, mais au contact d’autres personnes et ma propre expérience de la vie (oh c’est mignon hihi) on change d’avis, on fait nôtre des valeurs qui ne l’étaient pas auparavant. Les valeurs, on aime les transmettre, surtout lorsqu’on a su se redéfinir autour d’elle. Comme on dit si bien, il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis. 

C’est comme ça que nous changeons, nous évoluons. Si ce n’est pas d’autres personnes qui rentrent dans notre vie, c’est aussi simplement notre curiosité. Ainsi, je vous partageais dans cet article mon avis suite à la lecture d’un livre sur la consommation de la viande. Bien entendu, si on ouvre ces livres, c’est qu’il y a déjà eu un certain cheminement, une certaine envie de faire évoluer ses habitudes.. voire mêmes ses valeurs.

Pourtant, est-ce que l’on peut ne se définir au quotidien que par nos valeurs ? Je ne vis pas pour le sport, j’aime partager ma passion et les valeurs que cela a généré dans mon quotidien, mais je ne suis pas irréprochable et parfois, moi aussi j’ai la flem, OUT la valeur de l’effort.

Nous pouvons avoir des valeurs, mais nous ne sommes pas obligés d’être des jusqueboutistes de la valeur. De fait, j’apprécie lire des livres sur le zéro déchet, le végétarisme, le rangement. J’aime ces valeurs, j’aimerais les faire miennes, je fais pas mal d’effort pour y arriver mais je ne pourrais pas, pour le moment, les faire miennes au quotidien… comme pour le sport.

Je ne crois pas qu’il faut culpabiliser car on peut pas être tout le temps toujours…en accord avec ses valeurs. Je crois qu’il faut accepter le lâcher-prise et notre côté imparfait. C’est finalement la saveur de la vie. Alors oui ça m’énerve quand j’explique à Matthieu que je veux réduire nos déchets, que je lui laisse des sacs spéciaux pour le marché… puis finalement les oublier et devoir revenir avec plein de sacs en plastique. Aie.

C’est beau d’avoir des valeurs, c’est splendide de pouvoir les tenir 24/24 mais personne n’est parfait et parfois sur Internet, nous avons tendance à étiqueter tout le monde en fonction de nos engagements. Néanmoins, Internet n’est pas la vraie vie. On aimerait tous être parfait et se tenir tous à nos engagements mais nous sommes humains et il faut accepter nos petits détours, qui ne portent en aucun cas atteinte au reste de l’édifice.

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Pull – Ekyog (similaire ici)

Jeans – Free People (similaire ici ou là)

Veste – Only dispo

Blouse  – Zara (similaire ici ou là)

Sac – Primark (similaire ici ou là)

Basket – Reebok Furylite (Similaire ici ou là)

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Quel bonheur d’enlever quelques couches et de troquer le manteau pour une veste plus légère. Bon, comme on dit si bien : en avril ne te découvre pas d’un fil, donc je n’ai pas encore rangé le manteau. Je me méfie. Comme au mois de mars, nous nous sommes bien faits avoir notamment avec les 2 micro journées à 20 degrés et le mois… sous les giboulées.

En attendant, j’ai conjugué ma tenue au printemps : des fleurs… Gros flower power entre les baskets (originales, elles ne pourront pas plaire à tout le monde) et mon jeans favori que je ressors dès que possible. J’avoue m’être laissée emporter par mon enthousiasme : yipee il fait beau, les oiseaux chantent, les arbres fleurissent. Bref, une tenue qui reflétait mon humeur ce weekend.

J’espère que vous avez bien profité de ce weekend très ensoleillé 😉

à très vite

PS:

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Ne vous arrêtez pas là !

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16 réflexions sur “Uncover #613”

  1. La couleur du sweet est top!
    Tu as raison les réseaux sociaux donnent une image très orientée des gens. C’est bien de s’inspirer, de partager et d’échanger mais avoir ses propres valeurs et son libre arbitre c’est important.
    Bon sinon plus de disputes sur les sacs en plastique dans quelques mois puisque normalement ils vont être totalement interdits 😉
    Perso sur l’écologie j’essaye de faire au plus près de ce que j’aimerais, le prochain acte çà sera l’utilisation d’un bac à compost (très simple et utile quand on vit dans une maison avec grand jardin).

    1. Oui j’ai vu ça !! et les marchands sont pas super contents par contre car c’est vrai qu’au marché parfois ce n’est pas pratique, mais on se débrouillera !

  2. J’adore ce petit haut ! Et j’aime beaucoup le décor derrière !!!!! C’est à Paris ? Si oui, pourrais tu me dire le quartier ou la rue ? Merci bcp d’avance, bonne soirée

  3. Si à environ 40 ans, j’ai intégré de nombreuses valeurs éthiques et sportives, cela n’a commencé à prendre forme qu’une dizaine d’années en arrière, lorsque je me suis vraiment mise au sport. Avec le recul, je mesure le lien étroit qui existe entre sport et éthique, fourre-tout où je range bienveillance envers les autres, écologie, etc. Une pratique sportive importante impose une certaine hygiène de vie (nourriture, boisson, sommeil…) qui rejaillit sur le reste, comme l’écologie. Lorsque l’on traite bien son corps, on traite bien aussi son environnement. Je le mesure surtout avec mes amies de longue date pas sportives, qui sont bien peu soucieuses de limiter leurs déchets et leurs déplacements polluants. (Et le scooter pour le moindre déplacement, c’est catastrophique pour la ligne !)

  4. Finalement, les valeurs, ça va, ça vient. C’est TELLEMENT intéressant de voir comment on évolue soi-même. Comment on intègre de nouvelles données, comment on les arrange à sa sauce.
    On pique aussi les valeurs des autres, pour se les approprier… tout ça est absolument passionnant !

  5. Salut Anne! Très bon article! Entièrement d’accord avec toi sur le fait qu’on ne doit pas culpabiliser car oui on est humain! Mais tellement difficile… Mais je trouve que c’est déjà bien d’avoir des valeurs! 🙂

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