Hi,
Le weekend dernier, je me suis envolée pour un long weekend (qui s’est encore rallongé à cause d’AirFrance) à Berlin afin de visiter la ville et… participer au semi-marathon organisé le dimanche. C’était une course à laquelle je souhaitais vraiment participer, enfin nous, Matthieu et moi, car Berlin est LA ville, du moins le parcours, sur lequel beaucoup de records en course à pied sont battus. Dès que les inscriptions ont ouvertes en septembre (octobre ?) dernier, nous nous sommes inscrits.
Matthieu et moi avions vraiment pour ambition de courir ce semi-marathon comme NOTRE semi-marathon de l’année sur lequel nous allions battre notre record sur la distance. Sauf que… la préparation au marathon est passée par-là pour moi et cet objectif a donc été relégué en second plan, et Matthieu s’est blessé. Je me retrouvais donc seule à prendre le départ, le départ d’une course inscrite comme ma dernière sortie longue sur ma préparation au marathon, avec plein d’allemands. Hihi.
Honnêtement, j’ai décidé de prendre cette course « comme ma dernière sortie longue » sauf avec plein de monde, les ravitaillements pris en charge (enfin presque) ET une médaille à la fin. C’était la première fois que je participais à une course dans un pays où je ne parle pas la langue, mais pas la première que je fais à l’étranger. Ce qui est plutôt cool, c’est que l’organisation est similaire quasiment partout :
– Récupérer son dossard la veille
– L’histoire de la puce
– L’organisation des SAS, le départ, les ravitaillements, l’arrivée
Résultat, je n’avais pas trop d’inquiétudes malgré la barrière de la langue avant de prendre le départ. Honnêtement, j’ai été un peu surprise par le peu d’anglais qui était utilisé, même si ça suffisait pour comprendre ce qu’il fallait faire et ce qui se passait exactement.
Samedi :
Nous sommes arrivés à Berlin le matin-même, la première chose que nous avons fait est bien sûr de filer à l’aéroport désaffecté de Tempelhof à Berlin qui accueillait le village du Semi Marathon. C’était particulier comme lieu pour aller chercher son dossard. Un peu comme à Paris : beaucoup de marches, de stands de marques de sport pour enfin parvenir à retirer son dossard dans 5min top chrono. Néanmoins, contrairement à Paris, le lieu était franchement animé et ne tournait pas autour uniquement du semi-marathon. De plus… « un aéroport désaffecté » !! C’était fou : l’endroit est arrêté dans le temps : les terminaux, les café, les salles d’embarquement. C’était très cool et rendait la recherche du dossard franchement amusante. Je n’aurais jamais pensé visiter Tempelhof en tant que touriste.
En tout cas, le retrait du dossard a été très rapide, juste les bénévoles parlaient pas ou peu anglais et ce premier contact m’a un peu inquiété pour la suite. Nous avons bien sur eu quelques goodies bien moins sexuellement orienté comme à Paris (un bracelet fille, un déo homme). J’ai eu 2 déodorants échantillon (un coureur, ça transpire, c’est connu) et un crème Nok relaxante après l’effort. Bref, quelques pubs et le plus important : le dossard et une puce « louée » qu’il fallait rendre absolument à la fin (old school hihi).
On jette un coup d’oeil sur le parcours pour voir où Matthieu viendra me dire coucou durant la course. Tout est plat, pas de difficulté et l’organisation « vend » l’itinéraire comme hyper touristique en pointant les monuments que nous verrons tout au long de la course. C’est noté pour demain.
L’après-midi, nous visitons Berlin mais nous essayons d’économiser nos pieds un peu… un tout petit peu car on est quand même pas mal curieux.
Ma tenue juste avant la course, juste avant de passer à la consigne hihi
Dimanche matin, jour-j :
Le départ est à 10h. Nous avons réservé un hôtel à 20min en transport de la ligne de départ. Je me réveille vers 8h/8h30. Je me prépare rapidement et on file vers Karl Marx Allee, en plein centre de Berlin. C’est l’avenue la plus grande et large de la ville, parfait pour nous accueillir tous, je crois que nous sommes plus de 30 000 !! Sauf que l’organisation est tellement impeccable que je ne le sens même pas. Pas de cohue dans les transports, ni la folie pour rentrer dans les SAS, tout est hyper simple, hyper pratique et bien expliqué (malgré l’allemand, on comprenait bien où il fallait aller). Je rejoins ainsi mon SAS en moins de 5min sans stress environ 15/20 min avant le départ.
Je suis agréablement surprise. Je me sens bien, malgré le froid et la grisaille, l’ambiance est plutôt détendue. Je ne comprends strictement rien des blagues du Speaker, je comprends juste qu’il fait des blagues vu que les autres coureurs rigolent. Finalement, quelques mots en anglais pour nous expliquer qu’ils ont un soucis avec l’activation du chronomètre et des puces… d’où le retard du départ. Petit plus, je peux récupérer un petit verre d’eau en attendant, des « coupe-vent’ en plastique sont à disposition. Bref, un départ tranquille.
La première vague part… et c’est nous en même pas 3min. On ne piétine pas, je prends mon rythme dès le premier kilomètre, je ne double personne au contraire, le rythme est bon, la route est assez large pour tout le monde. Bon, la route est mouillée (il a plu toute la nuit et un bout de la matinée) et on se fait vite éclabousser. On file droit vers la porte de Brandebourg puis la colonne de la victoire qui marque le 5eme km. 5km TOUT droit avec en vue cette colonne. C’est là où je me dis que ce semi-marathon va être long : plat, droit et ce malgré les monuments. Il vaut mieux le courir rapidement alors non ?
Coucou à Matthieu au 5eme Km, tout allait encore bien
J’avais compris sur la carte qu’il y avait 4 ravitaillements, soit un de plus que le semi de Paris. Je me suis dit tant mieux. On passe le premier ravitaillement juste avant le 6eme km. Je suis en avance sur le temps que je faisais à Paris, je suis contente puis… Horrible constat : pas de petite bouteille d’eau mais des horribles franchement pas pratique non mais sérieusement gobelets d’eau à attraper tant bien que mal. Constat positif : il y a des ravitaillements des 2 côtés de la route, comme ça pas de désordre entre les coureurs pour se ravitailler ou non. Hormis les gobelets d’eau, pas de nourriture. Je me dis de toute manière c’est peut-être normal pour un premier ravitaillement, surtout s’il y en a 4..
Je constate quand même énormément d’emballages de gel/barre de céréales par-terre. Et maintenant que j’y repense (c’est ce que je pensais en courant après le 7eme km) c’est vrai que mes ex-potes de SAS avaient tous quasiment leur gel comme si nous partions en expédition au Mont-Blanc (je blague, mais presque). J’avais souris sur le moment mais petit à petit, je suis entrain de comprendre mon erreur.
Eh oui, ça vous met une joie de folie de croiser quelqu’un que vous connaissez dans la foule. Moi je n’ai pas fait de bisous, câlin à Matthieu, mais les allemands en faisant : petit check, petit ravitaillement PERSO (pourquoi je n’ai pas fait pareil!!)
Passer le ravitaillement du 10eme km : toujours que des gobelets. Je comprends mon erreur : il n’y aura aucun ravitaillement en nourriture de TOUT le semi-marathon. Or, je pars quasiment à jeun sur les courses. C’est comme ça, je prends parfois une banane ou une barre de céréales et un thé, mais rien de suffisant pour tenir 21km sans me ravitailler en nourriture. Résultat, je mange pendant les courses : des oranges principalement et du sucre si je sens que mes batteries sont à plat.
Et là, je regarde les allemands et leur gel, leur barre de céréales, leur famille avec du sucre avec envie. Zut, c’était écrit en anglais nul part « ma cocotte il n’y aura que des gobelets d’eau, mange ta main et garde l’autre pour l’arrivée ! » Je passe donc les derniers 11km à puiser dans mes réserves, à sentir mes muscles me maudire >>> Dis-moi on court pas un marathon dans 2 semaines, tu nous fais quoi-là ? Elles sont où mes oranges ? Si tu crois que tu vas battre ton record en nous traitant comme ça ! Tu rêves !
Oui, j’ai de longues discussions avec moi-même durant la course. J’écoute, je me focalise sur mon corps qui ne veut plus avancer, je compte les km, je ne prends plus de plaisir car je ne fais que me dire que je suis stupide de n’y avoir pas pensé. Le pire c’est que rien ne me remotive. Je perds 1km/h à ma montre, ce qui ne me remonte pas du tout le moral car je ne veux qu’une chose : arriver et manger. Contrairement à Paris, je VOIS chaque kilomètre passer et je n’arrive plus à prendre du plaisir.
Le parcours est ennuyeux, tout droit, tout droit, mini virage, tout droit, tout droit tout plat tout plat très plat. Oh oui quelques monuments… mais je les ai déjà tous vu hier. Quelle mauvaise idée j’ai eu de tout visiter hier, aucune surprise aujourd’hui pour me remotiver.
15eme kilomètre, je vois Matthieu, ça me remonte le moral… puis je lui cries « il n’y a rien à manger, mauvais… mauvais !!! » Mais je ré accélère car, je ne pense toujours qu’à une chose : arriver et manger. Je me déteste de n’avoir rien prévu, de ne pas avoir de plan B. Mon souffle ne souffre pas, je n’ai juste « pas de force » dans les jambes pour faire suivre toute la machine. Je me résous à finir la course à ce rythme afin de ne pas puiser trop dans mes forces. Je me souviens du véritable objectif : le marathon de Paris. Ce n’est pas grave de ne pas avoir de performance sur ce parcours. Berlin ne sera pas une course de record pour moi, mais même ainsi j’ai dû mal à re rentrer dans la course et y prendre du plaisir.
Bières offertes à l’arrivée. YAAH On est au pays du houblon ou non !
Nous passons l’arrivée avec un dernier virage surprise. J’étais entrain de me demander « où était cette arrivée » J’accélère de manière symbolique vers les ravitaillements, les vrais j’espère. Hop on me donne rapidement ma médaille… qui n’est pas super sexy avec son cordon très maigrelet, mais tant pis, je ne suis pas là que pour ça… je veux des oranges !! Hop revoilà ces fameux gobelets d’eau, je bois un petit coup…Ah super du thé chaud ET sucré… ok ok et à manger ??? J’avance… ohhh chouette de la Bière, ça commence à devenir consistent. Enfin dans un coin de moitié de banane et c’est tout.
C’est tout. J’en prends une sans grande conviction car il me faut du sucre vraiment rapidement. Je rejoins Matthieu pour pouvoir enfin arrêter de me parler à moi-même et déverser ma déception orangesque. Qui a volé l’orange des Allemands ?
Quelle déception, car jusqu’au bout l’organisation est au poil. Je trouve super facilement l’endroit pour rendre ma puce, pas de bousculade. De même, nous arrivons très facilement à prendre le métro pour rentrer. Mais je suis encore sonnée par ces ravitaillements qui feraient rire les courses les plus modestes de France. Je ne sais pas pourquoi mais pour moi, les ravitaillements : eau, orange, sucre, ça coule de source. Jamais, même si une course de petite envergure, je n’ai trouvé « que » des gobelets d’eau.
Pour rappel, nous avons payé nos dossards 50euros, pas t-shirt de course offert, il fallait payer je crois 20-30 euros de plus, de même la puce était « louée » il fallait impérativement la rendre à la fin au risque de se voir facturer 30 euros de plus. Hum….. Si je n’ai ni de t-shirt ni de puce, je ne pouvais pas avoir des oranges au lieu de la bière ?
Je portais : Veste Nike Running (similaire ici ou là) , Baskets Zoom Structure « flash pack », chaussettes de compression Nike, Short et T-shirt (Similaire ici ou là)Nike, Montre Tomtom Runners.
Malgré tout cela, je suis quand même content de temps officiel de 1h52min30sec qui est en-dessous de mes meilleurs temps en 2014 mais au-dessus de mon temps au semi de Paris 2015, un parcours beaucoup moins plat que Berlin !
En somme, on s’imagine qu’un parcours plat est bien meilleur pour battre son record sur la distance, personnellement, je me suis ennuyée. Je ne sais pas si c’est le côté plat ou les longues lignes droites qui ont joué, mais je crois que je préfère sincèrement les parcours plus « relevés » dans lequel mon mental est mis à rude épreuve et que je sens le besoin de redoubler d’effort. Je me concentre mieux alors que là, je crois que j’étais distraite, je n’arrivais pas à rentrer dans la course, je n’arrêtais pas de me dire « quand est-ce qu’on arrive ? »
Après, le manque de ravitaillement, a évidement énormément joué sur ma perception de la course. Néanmoins, je dois reconnaitre à Berlin une organisation et un accueil irréprochable des coureurs. Oui nous étions 30 000 participants mais je ne l’ai à aucun moment senti tellement tout était fluide et bien pensé. Et pour le coup, chapeau ! Les bénévoles étaient adorables, la foule bien présente malgré le froid et la pluie, les automobilistes, les passants étaient TOUS respectueux de la course.
Ainsi si je pouvais participer à un semi-marathon avec ravitaillement bien fourni et aussi bien organisé que celui de Berlin, je suis preneuse hihi 😉 En tout les cas, j’aurais appris plusieurs choses de cette course : mon énormément dépendance au ravitaillement, le besoin d’avoir un plan B = toujours avoir du sucre ou un gel sur moi à l’avenir, et la nécessité de repenser peut-être mon petit dej pré-course. J’ai vraiment payé physiquement le manque de nourriture. Je n’arrête pas de me dire que si j’avais bien mangé, j’aurais pu effectivement faire « péter les scores » comme on dit. Mais on apprend de ces erreurs et je le saurais pour une autre expérience 🙂
En tout les cas, je suis heureuse de cette combinaison : faire une course officielle + visiter la ville. C’était l’une de mes résolutions et je vais continuer à l’appliquer à l’avenir.
Next step >>> Le Marathon de Paris !! N’oubliez pas ma collecte de don au passage >>
Avez-vous déjà participé au Semi de Berlin ? Avez-vous envie de participer à une course officielle à l’étranger ?
à très vite et Joyeuses Pâques à tous
PS : RDV ce soir sur mon instagram pour une petite surprise 😉
PS 2: J’ai lancé ma chaine Youtube, n’hésitez pas à vous abonner >>
28 réflexions sur “Compte-Rendu : le Semi-Marathon de Berlin 2015 #171”
Salut! Quel dommage que tu n’aies pas aimé! J’ai vraiment le ressenti inverse ( comme quoi!). J’ai adoré cette course!
J’avais vu sur le site le plan du parcours et sur les points de ravitaillements il n’était indiqué que « eau et thé », donc j’avais prévu des barres Isostar. J’aurais préféré des fruits, ça m’a surprise de ne pas en voir aussi.
J’ai trouvé l’organisation absolument impeccable. Par contre j’étais dans le dernier sas ( quand je me suis inscrite je n’avais pas de temps de référence ) et ça embouteillait pas mal au départ, j’ai beaucoup doublé au départ mais je n’ai pas eu de mal à le faire du tout. J’ai bien apprécié de ne jamais me sentir enfermée dans la foule.
Peut être que c’était parce que Berlin était mon 1er semi mais j’ai adoré. Comme je suis vraiment rentrée dans ma course, les lignes droites ne m’ont pas gênée, j’en ai profité pour admirer la ville et des lieux que j’avais déjà visités et que je n’avais pas le temps de revoir ce week end. Il u avait énormément de monde sur la route, des tambours, jamais de temps morts, je suis restée dans l’ambiance jusqu’au bout. J’ai quand même souffert de ne pas avoir d’eau entre le km16 et l’arrivée car mes muscles en auraîent bien eu besoin.
A l’arrivée dur par contre, car je ne mange pas de banane et je ne bois pas de bière…. Heureusement mon hôtel était à 800m et nous avions une petite kitchenette dans la chambre donc j’ai mangé là bas. J’ai bien aimé la médaille ( la 1ère!) je l’ai faite graver avec mon nom et mon temps et j’ai récupéré mon document avec les temps de passage en même pas 15 minutes.
En bref voilà mon ressenti 🙂 je comprends que si 1) tu courrais seule alors que tu devais être avec Matthieu , 2) tu n’avais pas assez de sucre 3) tu n’es pas rentrée dans la course, c’est typiquement le genre de parcours qui peut devenir très long… Je tente Bruxelles en octobre, on verra ce que ça donne. Des frites et du chocolat aux ravitaillements?
Et sinon la ville, tu as aimé?
C’est fou cette histoire de ravitaillement. Ça doit être courant en Allemagne si tous tes « voisins » avait de quoi reprendre des forces sur eux. Vu le prix c’est assez déroutant. Le semi que j’aimerai faire c’est celui d’Amsterdam, j’adore cette ville et y courir doit être super 🙂
Ca a dû être une course vraiment difficile! Je ne me vois pas faire un semi à jeun! ça ne me dérange pas d’aller courir à jeun mais seulement tôt le matin et sur des plus petites distances. Pour les courses officielles, je prends mon petit déjeuner 3h avant le départ et pendant la course, je ne prends que de l’eau (sauf pour le marathon, évidemment). Tu as eu bien raison de ralentir le rythme pour ne pas t’épuiser, car le vrai objectif, c’est la semaine prochaine;)
Ma pauvre, en effet, pas facile ce genre de déconvenue mais comme tu dis ça forge l’expérience. Allez reprends courage! Le marathon approche!
Félicitations pour ta course car ça a dû être vraiment rude sans ravito. Je n’aurais jamais pensé qu’il puisse ne pas y avoir de ravito avec de la nourriture sur une course de ce type. En tous les cas, si tu trouves un semi qui combine super organisation et super ravito, je suis preneuse ^^
J’étais à Madrid pour le semi-marathon le même jour que toi à Berlin. Il n’y avait que de l’eau aux 3 ravitaillements pendant la course donc fais attention si un jour tu fais une course en Espagne! Le parcours était pas mal, pas de plat donc assez difficile mais au moins je ne me suis pas ennuyée. Bonne chance pour le marathon de Paris, moi ce sera Londres le 26 avril!
Je ne m’imagine pas faire un semi à jeun !! Pas de nourriture aux ravitos ça doit être typiquement allemand, car au semi de Prague la semaine dernière (oui mon premier semi !!!), on avait un ravito boisson + sucre tous les 2,5 km et un ravito bouffe (banane, orange) tous les 5 km. Bon on avait aussi droit à des gobelets, mais pour le reste, l’organisation était vraiment au top même si on n’était « que » 12 500 coureurs. Continue comme ça !! Tes comptes-rendus de course, tes entraînements et autres sont vraiment une source de motivation !! Puis ça fait du bien de trouver une blogueuse du Sud, une blogueuse de chez moi :p. Continue comme ça !!
Margaux
Bonjour Anne,
j’envisage de faire moi aussi une course a l’étranger, dit moi comment ça se passe pour le certificat médical? un certificat en français est il valable? comment tu as procédé?
merci
Cristina
Bonjour Cristina,
Pas besoin de certificat médical à l’étranger 😉
C’est étonnant qu’il n’y ait pas de nourriture…en tout cas félicitations pour avoir terminé dans ces conditions !
Pour le concours du coup on ne peut pas participer si on a pas Instagram ?
Bravo pour ta course, c’est quand même de bonne augure pour Paris ! Et bon 1er marathon, j’espère que tout va bien se passer. Je ne sais pas comment tu fais pour partir à jeun, si je fais je meurs de faim, je petit déjeune toujours avant que cela soit sur un 5,10,21, trail long… Cela te suffit les oranges ? Car j’en mange aussi au ravito, j’aime tellement ça le sucré mais cela ne me nourrit pas, je dois prendre du consistant à côté ! Mais bon un semi sans ravito solide, bizarre… Bonne récup
Coucou ….
Je te félicite encore pour cette course .
J’aurai aimé savoir si tu faisais un échauffement avant une compétition ..??
Merci bien pour ton blog qui est très riche pour les nouvelles runners ….
Bravo pour cette course pas facile à gérer! J’imagine bien la galere sans rien à manger aux ravitaillements c’est complique!! Bon au moins ça te permet de repenser certaines choses de ton organisation petit dej pour éviter ce genre de désagrément , cherchons le positif 😉 pleins de force et de courage pour le marathon qui approche 🙂
Merci pour tes articles toujours super détaillés !
Maintenant je comprends pour les ravitaillements, après avoir participé à ma première course officielle sur 10km hier ! (Petite prépa d’un mois et jamais atteint cette distance) et j’étais contente avec mes 2 gobelets et le ravit à l’arrivée.
On était certes que 1100 mais c’était génial, j’ai adoré et si j’ai commencé à courir il y a quelques années juste comme ça c’est suite à tes articles héhé.
La prochaine course sera tranquille : 6km du Figaro.
Ensuite on verra en septembre/octobre. (Nike n’organise rien au Portugal en juin c’est bien DOMMAGE !)
Plein de courage pour dimanche !!
Olala pas de ravitaillement l’enfer ! ma pauvre tu as vraiment un moral d’acier pour avoir tenu chapeau !
ohlalalala tu as du souffrir en ravitaillement sucré. J’ai béni l’organisation du semi de Paris d’avoir proposé autant de trucs à manger ! Je n’aurai pas tenue sinon.
Sinon oui moi ça me tente un semi l’étranger. Berlin why not. Ca serait une autre façon de redécouvrir la ville.
Mais celui qui me fait rêver c’est le semi de NYC.
Coucou Anne ,
J’avais hâte d’avoir ton ressenti sur ce semi ! J’y étais aussi et j’ai eu exactement le même souci avec les ravitaillements ! Comment on peut boire avec des gobelets !!!!! Et rien à manger !! Mais tu sais quoi ?! Y avait des bananes à manger !!! Oui ! Je l’ai ai jamais vues mais mon mari qui le courait aussi les a vues . J’aurais bien aimé en manger un bout même si j’avais quand même prévu un gel .
J’ai mis 2h05 c’est pas super comme temps mais ayant mal au genoux j’avais pas envie d’empirer la chose , pis on reprenait l’avion le soir même ( surtout qu’on a faillit louper l’avion et qu’on a dû courir comme des dératés avec les valises 🙂 )
Bon premier marathon ! Ça va trop le faire 😉
Salut Anne, bravo pour ce semi qui n’a pas été facile vues les conditions !
Je te souhaite bonne chance pour le marathon de Paris.
Salut Anne,
Oui ça me plairait beaucoup de faire des courses à l’étranger, il est certain que je me prévoirai ça prochainement 🙂
Bonne soirée
Delphine
Quel dommage cette histoire de ravito !
Le marathon de Berlin me fait rêver.
J’aimerais bien faire celui de New York évidemment, ou bien encore celui de Barcelone.
Bon courage pour dimanche en tout cas !
Par contre, le coup des gobelets, moi je trouve ça beaucoup plus écolo que les petites bouteilles. J’ai eu ça l’an dernier sur le marathon de Genève (les gobelets étaient remplis avec l’eau du robinet) et cela ne m’a posé aucun problème, au contraire.
Eh ben… pour un semi, ne pas prévoir de nourriture, c’est quand même fou….
Bravo à toi, parce que courir un semi à jeun, c’est quand même une épreuve !
Salut Anne !
Je te suis sur Instagram depuis un petit moment maintenant et je suis venu sur ton blog pour te poser des petites questions.
Je me suis mis au running depuis un peu pres un an ou deux, d’abord pour garder la force et ensuite, évidement, pour le plaisir car JADORE ça maintenant.
Je reste malgré tout débutante et pour repousser un peu mes limites je me suis fixer l’objectif d’un semi marathon en septembre.
Ce qui m’amène donc ici ! Je voulais te demander quelques conseils, comment tu te prepare pour un semi marathon ? Combien de fois par semaine tu t’entraîne ? Tu pratique uniquement la course pour te preparer ou tu fais d’autre sport (piscine,vélo…) ? , enfin Voila en gros des conseils pour bien aborder ce semi marathon 😀 !
Pleins de bisous à toi !
Bonjour,
Ce blog est très intéressant !! Bravo !!! Avec de très jolies photos. Des amis y sont allés et j’aurai aimé savoir leur temps mais impossible de trouver le classement semi-marathon de Berlin du 27 septembre. A tout hasard, est-ce que tu l’as ?
Par avance, merci.
Cordialement
Claire
Bonjour, merci pour ton partage d’expérience ! j’aimerais m’inscrire mais je ne trouve que des formules voyage tout compris comment as-tu fait pour t’inscrire au semi de Berlin?
Merci d’avance !
Bonjour Anne !
Je me suis lancée le défi de faire ce semi marathon le 3 avril prochain !
Je voudrais avoir ton avis sur les chaussettes de compression qui tu as porté : à quoi servent-elles exactement ?
Merci beaucoup, et je penserai à prendre une petite barre sur moi durant la course 😉 !
Bisous !
Update : j’ai participé à ce semi cette année et il y avait des bananes 😉
Ah bah top pour l’Update, ils ont compris lol