Hi,
J’avais envie de parler d’un sujet très personnel… non pas que ce n’est jamais personnel ce que j’aborde ici, au contraire lol. Mais aujourd’hui c’est un peu plus particulier. En me ramenant à la gare début septembre, ma mère m’a posé une question assez surprenante : Est-ce que tu penses de temps en temps à ta grand-mère ?
Si vous êtes nouveaux par-ici, j’ai perdu ma grand-mère il y a bientôt 4 ans je crois …3 ans ? C’est une mauvaise..nouvelle que j’ai partagé avec vous un an après et qui m’affecte toujours un peu, mais je dirais de manière différente. Et c’est pourquoi la question de ma Maman ne m’a pas dérangée, seulement surprise. Elle m’a fait réfléchir car en fait, il n’y a pas une journée où ma grand-mère ne s’immisce pas dans mes pensées. Je ne suis pas triste, enfin je ne suis PLUS triste.
Je pense à elle avec plaisir, avec regret… regret de ne pas pouvoir partagé tout ce que je vis avec elle. Ma mère m’a gentiment dit qu’elle serait fière de tout ce que je fais… Mais qu’en sait-on ? Je ne pourrais jamais le savoir. C’est plutôt ça qui me pince le coeur, qui me chagrine. L’absence, on s’y fait, c’est inévitable. Néanmoins, c’est bien le besoin de partager ces moments, de connaître ses sentiments qui manquent.
Cette question m’a fait remarquer à quel point le deuil finalement faisait partie de notre vie au quotidien et prenait différentes formes au fur et à mesure des mois, des années. Mon coeur ne se serre plus de son absence, mais elle fera toujours partie de moi. Le temps fait bien les choses et c’est parfois bien, de faire le point sur ces personnes qui nous manquent tant 😉
Désolée pour ce post un peu triste, mais sait-on jamais, j’espère qu’il fera peut-être échos de votre côté.
Gilet – American Vintage (similaire ici ou là)
Top – Zara (similaire ici ou là)
Ceinture – H&M
Jeans – H&M (similaire ici ou là)
Baskets- Nike (similaire ici ou là)
Même si les températures sont encore douces, à Copenhague le weekend dernier, ce n’était pas vraiment le cas. C’est pourquoi… voici un premier look automnal + touristique. Vous me connaissez, moi et les couleurs sombres, ça fait un arc-en-ciel lol.
Je n’aime pas les saisons d’automne/d’hiver car on porte souvent des couleurs tristounettes 🙁 Déjà que la météo n’est pas de la partie. Alors je fais des efforts pour continuer à porter des vêtements d’été tout en les réchauffant un peu.
Je suis contente cela dit de vous parler de mon nouveau jeans… de la collection “verte” d’H&M (enfin Conscious je crois). Alors même si je craque encore pour des pièces “pas clean”, je fais plus attention aux étiquettes 😉 Est-ce que vous y prêtez de plus en plus attention vous aussi ?
à très vite
PS: N’oubliez pas, j’organise une petite rencontre avant la course des 10km Paris Centre le samedi 1er octobre à 16h45, au village (Palais Royal) >>
26 réflexions sur “I don’t know what to Do #749”
Super look 🙂 j’aime beaucoup ton jean et tes baskets.
XoXo
J’ai été très triste lorsque ma grand mère est décédée, il y 15 ans maintenant… sans chercher à le faire exprès, petit à petit, après son décès, elle a pris une nouvelle place, toute particulière dans ma vie. Lorsqu’il m’arrive quelques chose de bien et d’inattendu, pour moi c’est comme si elle me faisait un clin d’œil. Je pense tout de suite à elle, un peu comme un ange gardien. Et je suis contente de ça, parce que du coup je me dit que je ne l’oublierais jamais et qu’elle ne me quitteras jamais. j’espère pour toi que tu lui trouveras une nouvelle place aussi !
Coucou Anne!
Merci beaucoup pour ce poste très touchant <3
J'ai aussi perdu plusieurs personnes de ma famille qui m'étaient chers, et même si cela fait quelques années, j'ai encore souvent ces moments-là où je pense à eux. J'imagine comment ils pourraient être aujourd'hui, et les conversations qu'on pourrait avoir maintenant que je suis une "grande fille".
Je suis entièrement d'accord avec toi sur le fait que le deuil prend différents aspects au fil de notre vie, mais qu'on ne pourra jamais vraiment vivre sans. Et ce n'est pas (ou plus) un sentiment de tristesse que j'ai dans ces moments-là, mais bien des instants légers et nostalgiques, où les souvenirs refont timidement surface.
Sinon, je crois qu'on a la même technique pour composer notre tenue : aujourd'hui j'ai porté mon débardeur préféré de l'été avec un bon gilet avec mon parapluie sous le bras ! (et oui, parce qu'il a plut aujourd'hui en Bretagne pour changer 😛 non je plaisante hier il faisait grand soleil!!) 🙂
Bises,
Gaëlle-Anne
Coucou Anne,
J’ai perdu mon grand père il y a bientôt deux semaines alors comment te dire que ton article me touche particulièrement.
Bises,
Marine
Moi cela même genre perdu mes gds parents y a 10 ans y a longtemps et on me demande si je souhaite me recueillir sur leur tombe. C’est est délicat.. Ma grand mère je le aime je lui parle mais non je irai pas dur sa tombe. Bientôt on te parlera grossesse
Il n’y a pas un jour, globalement, où je ne pense pas à mecs grands parents décédés il y a 24 et 20 ans… j’étais encore toute jeune et quand je pense à eux maintenant, je ne peux pas m’empêcher de penser à la douleur que je vais avoir quand ce sera le tour de les autres grands parents. Je serais, cette fois, consciente de toute la douleur que j’aurais. Enfin bon, n’y pensons pas tout de suite :)!
Ce post me parle beaucoup. J’ai perdu ma mamie fin 2011 et j’ai eu beaucoup de mal à l’accepter car je n’ai pas eu le temps de lui dire au revoir. A l’époque j’étais enceinte de mon premier enfant et je n’ai pas non plus eu le temps de le lui annoncer…
Pas une journée sans que je ne pense à elle. Elle me manque beaucoup…
Très jolie post, très touchant. Je n’ai pas encore connu ça mais ma grand mère souffre d’un cancer du foi et du colon alors je sais à quel point ça peut être douloureux. Il n’est pas évident d’apprendre à vivre avec ces douleurs, il faut réussir à l’accepter et à le prendre avec recul je crois mais seul le temps le permet. Je reste persuadée par contre que lorsqu’ils partent ils veillent sur nous et sont tout près de nous dans chacune de nos défaites comme dans nos succès. Elle doit sûrement être très fière de toi aujourd’hui
J’ai perdu ma première grand-mère il y a 22 ans maintenant ( mince, c’est dingue ce que le temps passe…), j’avais 16 ans. Elle est partie à 67 ans. Elle était tout pour moi, tellement spéciale, tellement indispensable… J’ai très mal vécu sa perte, et j’ai longtemps été terriblement triste. C’était aussi une grande claque, puisque c’était la première fois que je perdais un être cher. Aujourd’hui encore, elle me manque et j’ai les larmes aux yeux en pensant à elle. Je crois que je n’ai pas encore fait totalement le deuil, malgré le temps. Je lui parle parfois, en espérant qu’elle soit là et qu’elle m’entende, on ne sait jamais…puis j’ai perdu d’autres êtres chers, et, à chaque fois, j’ai l’impression qu’une petite partie de moi part avec eux. Mais je les fais vivre à travers ce qu’ils m’ont transmis.
G perdu mes grands meres y a environ 5ans de ça. Leurs décés ont eu lieu à 4mois d’écart. Maintenant quand j’y pense je me souviens d bon moment. Le seul regret que g c kel n’ont pas pu voir leur arrière petit enfant avant kel partent.
Bonne soirée.
Merci Anne pour ce post, ayant perdu mes 2 grands pères en l’espace de 3 mois, et ce il y a 3 mois, j’ai encore du mal à gérer, à réaliser aussi que je ne les verrais plus et que je ne partagerais plus rien avec plus, j’appréhende Noël comme j’ai appréhendé mon premier anniversaire sans eux.. Alors merci pour ce post, car je me sens moins seule, et en même temps je me dis que la tristesse s’apaisera..
L’abscence on l’accepte, petit a petit, tant bien que mal, c’est inevitable oui.. Le manque du partage, des conseils, de l’avis et de l’histoire de l’autre, je ne crois pas. Ce n’est pas la perte de ma grand mere de mon cote, mais je pense que l’absence de tout etre que l’on aime et cheri cause le meme mal.
Pas un jour ne passe sans que l’on y pense, sans que l’on se demande ce qu’il nous dirai, nous recommanderai et ferai.
Un post un peu triste, mais un post qui donne du baume au petit coeur que nous sommes <3
J’ai la chance d’avoir encore mes deux grands-mères à mes côtés. Mais il y deux mois j’ai perdu mon oncle. En plus du deuil, j’ai eu cette question qui me hantait l’esprit. Et si j’étais à la place de ma cousine ? (On a le même âge). Si c’était mon père qui venait de mourir aujourd’hui, comment je me sentirais ? J’ose à peine imaginer ma vie sans lui. J’ai beau être très proche de mon père, on vit à 600km d’écart, et est-ce que je profite vraiment assez de lui à cette distance ? Est-ce que malgré tout je n’aurais pas de regret quand il partira de ne pas avoir fait plus ?! On se pose forcément ce genre de question à un moment. Il faut vraiment profiter de nos proches quand on le peut.
J’ai perdu ma mère quand j’avais 11 ans, j’en ai plus de 40 maintenant, plus de 30 ans à me demander si elle aimerait la personne que je suis devenue. Et maintenant ce sont mes enfants qui se posent cette question.
Maintenant je me rends compte que je ne serais pas devenue la personne forte que je suis sans cette perte. Elle me manque mais en même temps son absence fait parti de ma construction, je suis qui je suis “grâce” à cette perte. C’est un sentiment bizarre.
Je suis + triste pour mes enfants qui ne la connaissent pas.
Ton post est très touchant et il fait grand échos de mon côté en effet. . J’ai perdu ma grand-mere il y a à peine 1 an, c’est arrivé si soudainement, cet événement m’a profondément marqué. . C’est d’ailleurs à cette période que j’ai commencé à courir car j’avais besoin d’évacuer tout ce que je n’arrivais pas à exprimer. Cette année a été difficile, il a fallu vivre toutes les premières fois sans elle, dès que quelqu’un parlait de ses grands-parents j’avais la gorge qui se nouait et je ressentais de l’injustice, qu’on m’ait privé d’elle.
Aujourd’hui ça va mieux, je suis toujours triste mais je n’ai plus le sentiment que je vais éclater en sanglots au moindre sujet qui m’y ferait penser. Je souris même en repensant à certains souvenirs. Je sais ce qu’elle dirait sur tel ou tel sujet, je peux même entendre son rire résonner en moi quand je sais qu’elle aurait trouvé une situation drôle. Elle me manque mais elle sera toujours dans mon coeur, je pense chaque jour à elle <3
Très beau poste Anne, je comprends très bien ce que tu y inscrits. J’ai perdu mes parents il y a 11 ans, j’avais 24 ans. Les 1ères années furent difficiles par le manque de leur présence auprès de moi. Mais au fur et à mesure que les années passent, j’ai réussi à combler leur absence de différentes manières, pas le choix……… Mais ce qui reste très difficile encore actuellement c’est de ne plus pouvoir partager mes joies et mes peines avec eux, de ne pas pas savoir s’ils seraient fier de moi, de partager mes expériences et d’avoir un repère……..
Nous sommes obligés d’avancer, de faire notre vie, je pense à mes parents tous les jours, c’est obligé, ils sont dans mon coeur. A chaque décision ou choix je me demande si ils étaient toujours aurais-je réagi de la même manière, car la perte d’un être chère nous change.
Ton poste n’est pas triste, tu partage, ça fait du bien, c’est la réalité de la vie :)!
Moi je pense souvent a ma grand mere et mon coeur se serre car plus je grandis, plus je me dis que je suis terriblement désolée d’etre restée paralysée voir mutique face a elle. car j’avais la trouille de ne pas traduire ce qu’elle me disait . Elle etait tetraplagique suite a de multiples cancers et des rayons mal dosés. seule sa bouche laissait paraitre son sourire a notre vue . Le reste etait figé mais elle ne se plaignait jamais juste nous souriait… pourtant nous devions la decevoir a fuir son regard . Elle avait perdu ses enfants ses soeurs son pere mais elle ne montrait rien de sa peine elle preferait nous tendre un sourire sincere . Cette idée me transperce le coeur il ne se passe pas une journée sans que j’y pense. J’aurais aimé lui dire que je l’aime mais j’etais trop jeune pour comprendre . J’avais la trouille et maintenant je le regrette .
j’ai perdu ma mère il y a neuf ans , elle avait 56 ans , alors que j’avais encore mes 2 grand mères … J’ai eu mon troisième enfant après sa mort et ce qui n’a pas été simple à gérer en terme d’émotion.. je ne saurais jamais ce qu’elle pense de lui à quel point elle l’aurait aimé… j’y pense très souvent ! Par la suite j’ai perdu une de mes grands mères elle avait 90 ans elle me manque aussi mais rien à voir avec les sentiments que je ressens pour ma mère… c’est compliqué le deuil…
J’ai également perdu ma grand mère il y a presque cinq ans maintenant… C’est vrai qu’on s’habitue à l’absence, comme tu dis, notre coeur ne se serre plus… Comme le disais une personne un peu plus bas, à chaque fois qu’il m’arrive quelque chose qui sort de l’ordinaire, je pense à elle. Et comme toi il ne se passe pas une journée sans que je pense à elle. Je pense que, quelque part, elle est toujours là, à mes côtés, à me prendre le bras comme elle faisait souvent 🙂
Hello Anne !
J’ai perdu ma grand-mère fin juillet et ça a été un véritable déchirement. Elle était tout pour moi, et voir son état se dégrader en quelques mois a été si dur que son décès a presque été un soulagement. Mais, comme toi, j’y pense absolument tous les jours, d’une manière ou d’une autre. Elle fait partie de moi. Contrairement à toi, je continue de penser à elle avec beaucoup de tristesse, mais c’est beaucoup plus récent dans mon cas, j’imagine que ceci explique cela. Elle est décédée un mois avant que je ne décroche mon diplôme de master avec distinction. Je lui ai dédié mon mémoire. Je pense – non, je sais – qu’elle serait très fière de moi, comme elle l’a toujours été au fil de ma vie et de ma scolarité, et ça me fait mal de me dire qu’elle n’a pas assisté à cette victoire. Et qu’elle ne sera pas là pour tous les autres moments importants de ma vie.
Je suis sûre que ta grand-mère serait très fière de toi et que, d’une façon ou d’une autre, elle l’est.
Belle journée à toi,
Je n’ai pas pu profiter longtemps de mes grands-parents. Mes grands-mères sont mortes quand j’avais 7 et 9 ans, mon grand-père maternel est décédé quand ma mère était adolescente, je ne l’ai donc pas connu, et j’avais 18 ans quand mon grand-père paternel nous a quitté à son tour. Je n’ai même pas pu lui annoncer que j’avais eu mon bac à quelques semaines près. Je lui ai dit en rêve mais je ne sais pas si ça a été efficace ! 😉 Je pense à eux tous les jours malgré les nombreuses années passées et parfois je suis un peu triste quand je vois ce que vivent certains de mes amis avec leurs grands-parents. Mais c’est la vie, je ne peux rien y changer ! Bon courage à toi. 🙂 Bises, Sylvie
Je parlais de toi il y a quelques jours avec Bonjour Darling, je suis admirative de ton parcours ta volonté, la maitrise de ton corps et ton intelligence
Bravo Anne, tu es une belle personne
Je t’embrasse
Il y a quelques années, j’ai perdu un oncle avec qui j’avais pu faire du vélo au Portugal pendant mes vacances. Il a été emporté rapidement et brutalement par la maladie une année où je n’avais pas pu le voir.
Chaque fois que je monte sur un vélo, je pense à lui maintenant et je donne le meilleur de moi meme pour son souvenir, pour les souvenirs de ces tours de vélo.
Quand je cours et que la fatigue commence à venir, que le genou commence à grincer, un coup d’oeil au ciel pour chercher de la force, de l’énergie… On a le temps de penser quand on court, j’en profite pour chercher cette force qui peut parfois faire défaut après une heure ou plus de course. Penser à tous ceux qui nous manquent, à tous ceux qui ont contribué et qui contribuent toujours malgré leur absence à faire de moi ce que je suis aujourd’hui.
Le sport d’endurance se prête bien à ces pensées, ce mélange de souffrance, de sourire aussi liés à des souvenirs, pour moi c’est l’un des meilleurs moments pour ces pensées.
Et je ne finis pas en larmes lorsque je finis mon run, je finis un peu plus guéri et mieux épaulé par ceux dont le souvenir reste gravé dans mon âme.
Merci pour cet article, c’est un sujet que je n’aurai jamais abordé naturellement avec qui que ce soit. Mais le fait de le lire me fait réaliser ce que je fais quand je cours, et plutôt assez souvent même.
PS : J’espère que ceux qui me manquent ont souri dimanche dernier lors du Paris Versailles couru avec mon frère.
J’ai perdu ma grand-mère il y a 13 ans déjà et je crois bien qu’il n’y a pas un seul jour où je ne pense pas à elle : c’est un vrai modèle pour moi et je regrette tellement qu’elle ne soit pas là pour voir ce que j’ai accompli mais aussi pour lui dire que je l’aime. Son décès m’a fait comprendre que je ne disais pas assez aux gens autour de moi que je les aimais : son départ aura au moins eu ce côté positif.
Merci pour ce post un peu différent mais qui fera probablement écho à beaucoup de monde
Tiens, ce post fait tout particulièrement écho en moi aujourd’hui. J’ai eu la remise de mon brevet aujourd’hui, et j’ai mis en collier le pendentif que ma grand-mère m’avait offert… tout comme je l’ai fait à tous mes examens, ainsi que mon premier et dernier jour de stage,… C’est un peu ma manière à moi de l’avoir “avec moi” ces jours importants, ou quand j’ai envie d’un porte-bonheur ou d’un peu de courage.
Je peux t’assurer que ton article fait véritablement écho en moi… J’ai perdu mon grand père avec qui j’étais très proche en le 10 aout. C’est très proche et ce n’est vraiment pas toujours facile au quotidien. Je pense à lui tous les jours, il veille sur moi dans un sens.
Mais le manque est toujours aussi fort et la peine aussi grande (les larmes montent en écrivant cela)
Pour le moment je n’arrive pas encore à me dire qu’un jour je n’aurai plus les larmes aux yeux en pensant à tous ses beaux moments partagés et aux moments qu’il ne verra malheureusement jamais.
Mais je sais que maintenant il ne souffre plus à cause de ce con*rd de cancer…
Un jour j’espère que je n’aurai plus aussi mal 🙁
En tout cas ton article est très beau !! Et je suis sûre que ta grand mère comme mon grand père sont très fiers de nous !!!
Bisous